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Il a tout juste passé sa trente-quatrième année. Ce grand gaillard aux muscles puissants, au rire joyeux et à l’allure charmante aime la nature. Il arpente souvent les bois et les futaies, les prairies et les montagnes. C’est là qu’il se sent bien.
Ses parents lui avaient donné le prénom d'Aldaron Ils avaient aimé l’écriture elfique donnée à ce mot trouvé dans le book d’une échoppe de tatouage située dans une ruelle féodale de la ville. Elle attendait un bébé qui était souvent agité et nerveux. Ils savaient que c’était un garçon. A la lecture du mot Aldaron, l’agitation avait cessé. L’enfant semblait apaisé.
La boutique était sombre hormis les quelques lanternes qui éclairaient délicatement l’épiderme des clients et le comptoir de l’établissement. L’artiste, graveur de peau, se tenait devant eux. Il portait des dreads et des tatouages blancs. Il était rayonnant, lumineux. Il leur apprit qu’il s’agissait d’un prénom donné par les elfes au seigneur des arbres.
Ils se regardèrent tous deux dans les yeux, ils n’avaient pas encore choisi le prénom de leur prochain rejeton. Ils se firent un sourire complice. Ils étaient d’accord. Ils sortirent de la boutique emportant sur leur peau une gravure en caractère elfique, le prénom de celui qui a vécu l’histoire révélée dans cette fiction.
L'histoire d'Aldaron est encore en cogitation.
Revenez sur le site, la suite sera publiée dès que possible.
Il a tout juste passé sa trente-quatrième année. Ce grand gaillard aux muscles puissants, au rire joyeux et à l’allure charmante aime la nature. Il arpente souvent les bois et les futaies, les prairies et les montagnes. C’est là qu’il se sent bien.
Ses parents lui avaient donné le prénom d'Aldaron Ils avaient aimé l’écriture elfique donnée à ce mot trouvé dans le book d’une échoppe de tatouage située dans une ruelle féodale de la ville. Elle attendait un bébé qui était souvent agité et nerveux. Ils savaient que c’était un garçon. A la lecture du mot Aldaron, l’agitation avait cessé. L’enfant semblait apaisé.
La boutique était sombre hormis les quelques lanternes qui éclairaient délicatement l’épiderme des clients et le comptoir de l’établissement. L’artiste, graveur de peau, se tenait devant eux. Il portait des dreads et des tatouages blancs. Il était rayonnant, lumineux. Il leur apprit qu’il s’agissait d’un prénom donné par les elfes au seigneur des arbres.
Ils se regardèrent tous deux dans les yeux, ils n’avaient pas encore choisi le prénom de leur prochain rejeton. Ils se firent un sourire complice. Ils étaient d’accord. Ils sortirent de la boutique emportant sur leur peau une gravure en caractère elfique, le prénom de celui qui a vécu l’histoire révélée dans cette fiction.
L'histoire d'Aldaron est encore en cogitation.
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